Nous sommes dans un temps de paix et de prospérité où la parentalité a un désir de toute puissance sur le destin des enfants. Moderne, ancien, commun, original… Ce choix a-t-il vraiment un impact sur la vie et le caractère de chacun ? Une foule de recherches montrent à quel point votre nom peut influer sur votre succès dans la vie. D’après ces recherches, celui-ci serait l'acte fondateur de notre existence et une étiquette sociale que nous traînons toute notre vie. Il pourrait avoir une influence sur notre vie personnelle et professionnelle, voire intime.
En effet, Anne-Laure Sellier, spécialiste de la psychologie sociale à HEC Paris et auteure de l’ouvrage "le Pouvoir des Prénoms”, indique que 76 % des Français sont convaincus qu’un prénom peut influencer le cours d’une vie.
1. Les conséquences des prénoms selon les études
D’après une étude américaine réalisée par les économistes Saku Aura et Gregory D. Hess, certaines caractéristiques des prénoms ont une influence sur la réussite dans la vie. Par exemple, le nombre de syllabes, l'orthographe conventionnelle ou pas, si le prénom est fréquemment répertorié à l'échelle nationale, si c'est un surnom (Alex, Lou)... Leurs analyses (sur 6000 personnes) révèlent que les caractéristiques du prénom peuvent prédire le statut social, le niveau d'études et le salaire de la personne.
« C'est logique, quand on y pense, explique Anne Laure Sellier. On vous appelle par votre prénom 20 fois par jour depuis que vous êtes petit, on y met des intonations particulières... Ceci conditionne vos réactions et votre façon de vous comporter et, avec le temps, ça finit par forger votre personnalité et ainsi façonner votre vie. Aujourd'hui, on a des données scientifiques, on a des outils, notamment avec l'intelligence artificielle, qui mesure ce qu'on peut apprendre sur la véritable portée du prénom. »
Les stéréotypes de noms peuvent se manifester dans l’apparence faciale
Selon Anne Laure Sellier, notre visage pourrait même porter les traces de notre prénom. Elle indique que la manifestation de notre prénom sur notre visage est l'aboutissement d'années de travail inconscient.
Elle écrit que « si le stéréotype d'une Julie correspond à celui d'une fille souriante et lumineuse, les gens vont s'adresser à Julie en s'attendant à ce visage. Julie, par imitation inconsciente, se met à sourire à la hauteur des attentes de son interlocuteur. Sur plusieurs années de ce comportement répété, au cours de milliers d'interactions avec les autres qui - à l'intérieur de notre groupe culturel - partagent ce stéréotype de Julie, notre Julie finit par porter la marque permanente d'un visage lumineux et souriant. Afin d'être reconnu et accepté par les autres, on se met dans le pli de la représentation que les autres se font de notre prénom. C'est comme les couples qui finissent par se ressembler ».
La recherche démontre que l’apparence faciale affecte les perceptions sociales. La recherche actuelle étudie la possibilité inverse : les perceptions sociales peuvent-elles influencer l’apparence du visage ? L’hypothèse est que les stéréotypes de noms peuvent se manifester dans l’apparence faciale. Dans 8 études, il est démontré l’existence de cet effet, alors que les participants examinant un visage inconnu choisissent avec précision le vrai nom de la personne à partir d’une liste de plusieurs noms, ce qui est nettement supérieur au niveau du hasard.
"Booba, Lola, Benoît sont associés à des silhouettes plus arrondies qu’Eric, Loïc ou Alix perçus comme plus anguleux, explique le professeur Nicolas Guéguen. Les prénoms féminins français ont d’ailleurs deux à trois fois plus de chance d’être associés à une silhouette ronde que les prénoms masculins (…) La sonorité d’un prénom à elle seule, suffit à évoquer chez nous une forme, que nous associons à la personne qui le porte (…) Nous ressemblons à notre prénom mais nous ne sommes pas physiquement à 100 % notre prénom. L’individualité peut ensuite s’exprimer".
Un prénom commun et facile de prononciation serait plus favorable.
"Anthony" plus rassurant que "Devon" ?
Dans une étude de l’Université de New York, les chercheurs ont constaté que les personnes dont le nom est plus facile à prononcer occupent souvent des postes de plus haut niveau. Adam Alter, un psychologue, explique que quand nous pouvons traiter une information plus facilement, qu'elle est plus facile à comprendre, nous l’aimons davantage.
Si les prénoms communs offrent aux enfants plus de chances de s’intégrer dans la société que les prénoms originaux, ce n’est pas leur seule particularité. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ils permettent également aux enfants de s’individualiser. "Les prénoms communs ne marquent pas le projet que les parents ont pour leur enfant, et laissent donc à ce dernier la possibilité de devenir lui-même plus rapidement", précise le psychanalyste François Bonifaix, spécialiste des prénoms et auteur du "Traumatisme du prénom".
Les prénoms originaux, quant à eux, marquent au fer rouge les enfants et rendent le processus d’individualisation plus lent, voire plus difficile.
En 1948, les chercheurs Houston et Sumner annonçaient que porter un prénom inhabituel pouvait, dans une certaine mesure, impacter alors l’estime de l’enfant ainsi que ses résultats scolaires. "Il se pourrait que les prénoms conventionnels, qui renforcent l'estime de soi et qui sont mieux appréciés par les enseignants, facilitent les performances scolaires et universitaires", note le docteur Guéguen.
Anne Laure explique qu’il y a de plus en plus chez les parents, la volonté d'hyper-individualiser l'enfant, de le rendre unique en lui donnant par exemple un prénom original. Elle explique que même le simple fait de changer l’orthographe d’un prénom pourrait poser problème. "On se dit : "Je ne vais quand même pas l'appeler Louis !" Alors, on est tenté de changer l'orthographe du prénom. Or, une des choses qui portent le plus préjudice, c'est lorsque vous donnez un prénom classique et que vous en changez l'orthographe. C'est la pire chose à faire, car toute votre vie, il devra épeler son prénom, prévient-elle. Ce sera Louys avec "y", sauf que ce petit truc en plus qu'on pense extraordinaire, ça va devenir un petit truc en moins pour la personne." Un enfant aurait donc besoin de simplicité et surtout d'être accepté.
Les prénoms peuvent parfois refléter l’origine sociale de l’enfant : dans l’imaginaire collectif, certains prénoms composés renvoient ainsi à la bourgeoisie, tandis que d’autres, comme "Kevin", renvoient à un milieu social plus populaire. "Le prénom peut donc être à l’origine de railleries et d’une non-insertion si l’on évolue dans un milieu différent de celui auquel on a été étiqueté", explique le psychanalyste.
Dans une étude de l’Université Marquette, les chercheurs ont trouvé des preuves indiquant que les noms considérés comme les moins uniques étaient plus sympathiques. Les personnes ayant des noms communs seraient plus susceptibles d’être embauchées, contrairement à ceux ayant des noms rares. En 2011, les psychologues Simon lahal, Peter Koval et Adam Alter ont constaté, entre autres, que plus les avocats américains portent un prénom et un nom faciles à prononcer, plus ils occupent des postes élevés au sein de leur cabinet. Ainsi, plus le prénom est fluide, plus il serait aisé de grimper dans la hiérarchie professionnelle. Selon l’auteure, il agirait jusqu'au choix de notre profession, de notre lieu de vie, de nos amis, de notre conjoint et sur l’image que nous avons de nous-mêmes. En somme, il déteindrait sur notre bonheur.
Il n’est pas rare de donner aux enfants le prénom d’un grand-parent décédé, en guise d’hommage. Le poids de ce choix est parfois lourd à porter, car l’enfant devient le prolongement de quelqu’un qui n’est plus.
"La personne disparue vit à travers l’enfant, ce qui peut lui donner l’impression que son existence est niée", précise François Bonifaix.
L’égotisme implicite
D’après Anne Laure Sellier, “nous préférons les gens, endroits et choses que nous associons inconsciemment à nous-mêmes. Ce phénomène se nomme "l’égotisme implicite". Cela signifie que nous portons une affection toute particulière à ce qui nous ressemble (égotisme), mais nous l’ignorons". Aux Etats-Unis, "on recense une disproportion de Denis et Denise parmi les dentistes, de Lawrence, Laurie ou Lauren parmi les avocats (en anglais, avocat se dit lawyer)". De la même façon, il y a aux Etats-Unis un nombre disproportionné de Louis à Saint-Louis, de Bernard à Saint-Bernard, etc.
Toujours dans cette idée d’égotisme implicite, nous serions également plus attiré par des personnes ayant un prénom ressemblant au notre.
Les noms rares sont associés à la délinquance juvénile.
Une étude de 2009 à l’Université de Shippensburg a suggéré qu’il y a une forte relation entre la popularité de son prénom et le comportement criminel juvénile. Les chercheurs ont constaté que les jeunes ayant des noms impopulaires étaient plus susceptibles de se livrer à des activités criminelles. Les résultats ne montrent évidemment pas que les noms inhabituels ont causé le comportement, mais simplement un lien. Et les chercheurs ont des théories sur leurs découvertes : "Les adolescents avec des noms impopulaires peuvent être plus enclins à la criminalité parce qu’ils sont traités différemment par leurs pairs, ce qui rend plus difficile pour eux le fait de former des relations (...) ils peuvent aussi agir parce qu’ils n’aiment pas leurs noms.”
Baptiste Coulmont a étudié cette sociologie des prénoms à travers les mentions au baccalauréat : en 2015, sur 982 candidats prénommés « Dylan », seuls 2,6 % ont obtenu une mention « très bien » contre 21,9 % de « Joséphine ». Et parmi ceux qui ont eu des notes entre 18 et 20, il y avait majoritairement des « Éloïse », « Constance » ou « Théophile ». Ceux qui ont eu des mauvaises notes, s’appelaient plutôt « Kylian », « Christopher » ou « Allison ». Ce n’est évidemment pas le prénom qui fait réussir ou échouer, mais il révèle l’origine sociale des candidats et cette sociologie explique la réussite au bac.
Mais alors, mieux vaut un prénom « rare » ou un prénom à la mode ?
D’après Nicolas Guéguen, chercheur en sciences du comportement à Université de Bretagne-Sud et auteur de « Psychologie des prénoms », les recherches sont un peu contradictoires sur le prénom « rare ». Il peut présenter un avantage s’il n’est pas trop difficile à prononcer et si les sonorités sont agréables ou chantantes. Pour être bien perçu, il faut aussi qu’il corresponde au milieu social de celui ou celle qui le porte. Le prénom à la mode, lui, est souvent satisfaisant parce qu’il est normatif et que la plupart des gens aiment être dans la norme.
2. La mode des prénoms
L’histoire des prénoms
Nous possédons tous des prénoms et noms. Ces derniers nous définissent. Ils nous permettent d'être reconnus par tous et par la société. Mais d'où vient cette tradition ? Pourquoi y a-t-il des prénoms ?
Pour comprendre cela, il nous faut remonter très loin en arrière. Nous sommes à l'époque Romaine. En ce temps, tout le monde possédait un nom, un prénom et un surnom. C'est d'ailleurs ce dernier qui était alors le plus important. On le choisissait en fonction de la personne, de sa personnalité ou de sa façon d'être. On utilisait cette dénomination pour désigner la personne. Peu à peu, et grâce à la puissance de cet empire, cette tradition a commencé à se développer dans d'autres territoires, tel que la Gaule. Cette façon de faire perdura pendant des siècles. On prenait l'habitude d'appeler chacun par son surnom, même si tout le monde possédait un prénom et nom de famille. Ce n'est qu'en 1539 que tout changea. Cette année-là, le roi François Ier décrète que les registres de naissance sont désormais obligatoires. Les membres du clergé, qui s'occupaient de ces documents, se mirent donc à choisir des noms de saints en guise de prénom. Puis, ils y apposaient le nom de famille du père. C'est ainsi que l'usage du surnom disparu, au profit de celui du prénom.
Jusqu'à la fin du Moyen Âge, le nom de personne ou nom de baptême est le nom principal de toute identité. Il est généralement accompagné de différents noms déterminants, afin de distinguer les différentes personnes portant le même prénom : nom d'origine géographique, de résidence (du chêne, l'angevin…), de filiation (patronyme : Martin, Jean…), de parentalité, de métier (le marchand, boucher)…, ou surnom - souvent une singularité liée au physique ou au caractère (sobriquets comme le grand, le bon, joly ou encore Martineau, le petit Martin).
Au fil du temps, le nom de famille acquiert dans l'identité une place prépondérante. Le nom principal n'est plus alors qu'un « pré-nom », ce n'est plus lui qui sert d'entrée dans les dictionnaires bien qu'il précède le nom de famille dans le temps (c'est le nom de l'enfance).
La loi des prénoms
Depuis la loi du 8 janvier 1993, les parents jouissent d’une plus grande liberté pour baptiser leur enfant. Pour autant, tout n’est pas permis en matière de prénoms, loin de là. Et cela, dans l’intérêt de l’enfant. La loi n°93/22 du 8 janvier 1993 assouplit la réglementation concernant les prénoms. Elle offre aux parents la possibilité de choisir des noms de baptême originaux. En effet, ceux-ci sont autorisés à donner n'importe quel prénom à leur enfant, dans la mesure où il ne porte préjudice ni au droit des tiers, ni à l'enfant. Si un prénom semble contraire à l'intérêt de l'enfant, l’officier d’état civil prévient le procureur de la République et un juge aux affaires familiales décide de son maintien ou de sa suppression. Régulièrement, des prénoms jugés contraires à l'intérêt de l'enfant sont ainsi refusés (Titeuf, Manhattan, Nutella…)
Une circulaire administrative mentionne que « seul l'alphabet romain peut être utilisé et que les seuls signes diacritiques admis sont les points, tréma, accents et cédilles tels qu'ils sont souscrits ou suscrits aux voyelles et consonne autorisés par la langue française. »
A Rennes, des parents qui souhaitaient appeler leur fils Derc’hen se sont vu refuser l’enregistrement du prénom, en raison de la présence d’une apostrophe. De même pour le petit Fañch, né en mai 2017 à Quimper, dont le prénom avait été refusé en raison de la présence du “tilde” sur le n.
Que permettait la législation française auparavant, en matière de prénoms ?
Avant 1993, la législation française était très stricte sur la question. La loi du 11 germinal an XI (1er avril 1803) obligeait les parents à choisir un prénom dans divers calendriers ou parmi les personnages de l'Histoire antique. Au XXe siècle, un premier assouplissement a lieu. L'instruction ministérielle du 12 avril 1966 autorisait les prénoms régionaux, composés, issus de diminutifs ou tirés de la mythologie. Dans tous les cas, les officiers d'état civil avaient alors tout pouvoir pour accepter ou refuser un prénom. Leurs avis divergeaient parfois selon les lieux…
A chaque génération et classe sociale son prénom !
Comme l’explique la spécialiste Anne-Laure Sellier, il y a une forte pression sur les parents au moment du choix. Les parents sont tiraillés entre plusieurs stratégies. La "stratégie refuge" consiste à donner un prénom simple, fréquent et facile à prononcer tels que Louis, Emma et Gabriel, afin que la vie de l’enfant soit la plus simple et facile possible. A l’inverse, la "stratégie de la différence" consiste à rechercher un prénom parmi ceux les moins donnés, afin de faire de son enfant un être "unique". Quoi qu’il en soit, il vaut mieux y réfléchir à deux fois : une mère sur cinq dit qu’elle regrette le nom qu’elle a choisi pour son enfant, rapporte le Guardian.
Cette dernière tendance s’est accrue depuis 1993 (au moment de la libéralisation des choix des prénoms) avec un florilège de petits noms s’inscrivant pleinement dans notre époque : ils peuvent être originaux comme Océane, Prune ou Myrtille, étrangers comme Mattéo, Kim, Ryan… ou créés de toute pièce (avec une orthographe différente (Kloé) ou un dérivé de prénom (Eléonie, Liséa) par exemple).
Comme le stipule Nicolas Guéguen, le choix du prénom s'inscrit dans un contexte sociétal (une époque et un lieu précis). De nos jours les prénoms les plus donnés se caractérisent par leur dynamisme (court) et leur sonorité (exotiques, douces, etc.). Les Léo, Zoé, Tom, Lola… figurent ainsi dans le haut du classement des prénoms préférés des Français. Les prénoms plus classiques, réminiscence d'une époque considérée comme un "âge d'or", ont également leur heure de gloire depuis quelques années. On laisse ainsi de plus en en plus facilement en héritage à son enfant un prénom un brin désuet comme Édouard.
Les prénoms tendance
Gabriel, Raphaël, Léo, Louis et Lucas pour les garçons ; Emma, Jade, Louise, Alice et Chloé pour les filles. Le quintet de tête est constitué de prénoms en vogue depuis déjà quelques années. Ces prénoms solidement ancrés en tête de classement seront à nouveau les plus en vogue en 2020, selon L’Officiel des prénoms. À bien y regarder le top 20 des tendances pour l’an prochain ressemble fortement au classement établi par l'Insee d’après les données d’État civil de 2018…
La tendance est toujours aux prénoms courts avec une ou deux syllabes (Léo, Jules, Hugo…). En moyenne, ils sont composés de cinq lettres. Les prénoms rétros sont aussi à la mode (Louis, Gabin) et issus de l'Ancien Testament. Noah et Tom sont en recul. Nolan, 19e an dernier et 15e en 2018, est sorti du palmarès et Mohamed fait son retour en 19e position.
Chez les filles, on note l'arrivée ou le retour de Julia (disparu du top l'an passé), Iris, Jeanne, Lou et Agathe, et la disparition de Manon (14e l'an passé), Zoé, Camille, Lola et Elena. On note également un engouement pour des prénoms avec une dimension universelle, qui fonctionnent dans différents pays ou différentes religions. Gabriel, Adam, Sacha, Noah, Jade, Anna, Lina, Mila… Tous ces prénoms s’adaptent à toutes les situations.
Nos favoris
Pour terminer, voici une petite liste de nos prénoms chouchou. Avec un peu de chance, celle-ci pourra vous aider dans votre choix !
Garçons | Filles |
MAËL |
LUCIE
LISE
LILY |
Dans l’idée que le choix du prénom puisse orienter l’avenir d’un enfant dans un sens, il est donc nécessaire de faire un choix judicieux. Et n’oubliez pas qu’en fonction du choix final, l’enfant aura, ou non, un travail supplémentaire d’appropriation à effectuer... Fille ou garçon, il faudra faire attention ! Si vous avez une petite préférence pour un des deux sexes, n’hésitez pas à vous rendre sur notre article qui explique l’influence que peut avoir l’alimentation sur le sexe de votre futur bébé.
Pour clôturer cet article, on vous éclaire une dernière fois sur les principaux points à prendre en compte…
- Soyez prudents dans le choix du prénom et ne vous limitez pas à son aspect esthétique
- Ne prenez pas une décision sur un coup de tête, quitte à attendre la naissance de l’enfant : vous avez trois jours à la naissance pour déclarer le prénom définitif
- Evitez de lui donner le dernier prénom à succès de telle ou telle série TV : n’oubliez pas que c’est votre enfant qui va le porter toute sa vie
- Faites en sorte que le prénom s’articule bien avec le nom de famille, ça compte.
- Votre enfant est unique, alors pourquoi ne pas lui choisir un prénom qu’il sera le seul à porter dans la famille ?
- Pensez à lui quand il sera plus grand : évitez les prénoms qui risquent d’être transformés par les petits camarades. Ceux-ci ne manquent pas d’imagination, ce qui peut léser votre enfant.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Pour terminer, voici une petite vidéo qui résume notre article. Bon visionnage ! ♡
Sources:
https://www.pediatre-online.fr/nouveau-ne/prenom-influence-t-personnalite-destin-de-lenfant/https://www.lapresse.ca/vivre/societe/201809/21/01-5197506-notre-prenom-influence-t-il-notre-vie.phphttps://www.femmeactuelle.fr/enfant/enfants/le-choix-du-prenom-peut-il-influencer-la-personnalite-dun-enfant-2069752https://www.businessinsider.com/what-you-name-your-kids-will-affect-their-success-2016-9?IR=T#if-you-have-a-white-sounding-name-youre-more-likely-to-get-hired-4https://www.doctissimo.fr/grossesse/choisir-un-prenom/prenom-de-votre-enfant-determine-t-il-son-caracterehttps://www.pourquois.com/societe/pourquoi-y-a-prenoms.htmlhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9nomhttps://www.parents.fr/prenoms/nos-conseils-prenoms/choix-du-prenom-ce-que-la-loi-du-8-janvier-1993-a-change-304999#:~:text=La%20loi%20n%C2%B093,tiers%20ni%20%C3%A0%20l'enfant.https://www.leparisien.fr/archives/dans-le-retro-choix-du-prenom-l-annee-ou-la-loi-a-change-13-10-2015-5182111.phphttps://www.pourquois.com/societe/pourquoi-y-a-prenoms.html
https://www.ouest-france.fr/economie/demographie/les-prenoms-qui-seront-les-plus-donnes-en-2020-ceux-qui-ont-ete-le-plus-donnes-en-2018-6504919